Village Répit Familles Les Cizes : de la détente et du répit pour les aidants familiaux et leur famille
Soufflez, retrouvez l’esprit de famille, venez à Saint-Lupicin...
Vous êtes aidant ? Vous avez besoin de souffler, de vous ressourcer, et de profiter en famille d’un temps de répit tout en bénéficiant d’une prise en charge adaptée ? Faites une parenthèse dans le Jura ! Le Village Répit Familles ® Les Cizes, basé à Saint-Lupicin (39), propose une solution de répit adaptée aux personnes en situation de handicap et à leurs aidants familiaux.
Le village adossé à une structure médico-sociale garantit les prestations de soins et d’accompagnement qui permettront à toute la famille de se détendre en toute sécurité et de profiter de leur séjour.
Le site vous propose en hiver de nombreuses activités : initiation à la conduite d’attelage de chiens de traineau, au ski en fauteuil... Le service d’accompagnement médico-social met tout en œuvre pour permettre aux proches aidants de se reposer et met une équipe soignante à la disposition des personnes en situation de handicap.
Renseignements et réservations:
Tél. : 03 84 60 46 00
Mail : accueil-vrflescizes@lehautdeversac.com
Afin d’avoir accès au financement des prestations médico-sociales, délivré aux personnes en situation de handicap, (à l’exception du forfait journalier de 18€ pour les adultes de plus de 20ans) il suffit de bénéficier de l’orientation « accueil temporaire » de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées).
A propos du Village Répit Familles ® Les Cizes
Conçu par l’AFM-Téléthon, le VRF Les Cizes géré par un GCSMS, compte 13 pavillons, 2 studios et 3 chambres individuelles adaptés, permettant l’accueil des familles, de couples ou de personnes seules en situation de handicap, dans les meilleures conditions. Plus qu’un hébergement, le Village Répit Familles Les Cizes propose des formules à la carte répondant aux besoins de répit des aidants familiaux leur permettant d’être soulagés des contraintes liées à la maladie de leur proche.
source : http://www.handicapinfos.com
INFO - Page 14
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De la détente et du répit pour les aidants familiaux et leur famille
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JNA (J-10)
Pour revoir le programme de la journée, cliquez moi dessus :
crédit photo; https://unprofdzecoles.com -
La bientraitance
La bientraitance, l'affaire de tous
En institution comme à domicile, la bientraitance “ n’est pas toujours simple ” constate Catherine Chou-Descazes, géronto-psychologue. L’accompagnement des acteurs de soin est essentiel.
Quand on parle de " bientraitance ", est-ce une façon subtile de parler de maltraitance ?
« La psychologue Patricia Chalon* en donne cette définition : " Faire preuve de bientraitance, c'est tenter de s'élever au-delà du plaisir et de la satisfaction immédiats et de privilégier l'ambition de voir en l'autre ce qu'il a de meilleur ". La maltraitance est un mot que je n'utilise pas car il fait référence à des hommes et des femmes : je n'ai jamais rencontré de gens maltraitant, c'est le système qui peut l'être. »
Pourquoi certains redoutent des situations de maltraitance dans les institutions ?
« Le rôle d'une institution c'est de faire vivre un groupe. Or, la bientraitance commence par le fait de considérer chaque personne comme unique, avec un parcours qui lui est propre, et de le respecter comme individu. Cet équilibre entre le bien-être du groupe et celui des individus n'est pas si simple. On peut aussi dire cela de l'école par exemple. »
Qu'est ce qui peut être source de maltraitance ?
« Le risque de désarroi des aidants est directement corrélé au risque de maltraitance. Chez les professionnels, il va évoluer avec le nombre de contacts que l'on a avec la personne, donc le risque de s'y attacher, et de là le besoin de se protéger ; il est aussi corrélé avec le degré d'autonomie des personnes prises en charge, et le fait de devoir accepter qu'il n'y a pas toujours de réponses aux situations. Chez les aidants naturels, il y a cette difficulté de faire le deuil d'une personne que l'on a aimé, d'un projet de vie, le risque d'épuisement, la manière dont les choses sont expliquées par le corps médical, ou encore la capacité à accepter de l'aide : ils ne sont pas là pour se substituer à un infirmier. »
Comment agit-on pour promouvoir la bientraitance ?
« On fait avancer l'idée que derrière chaque prise en charge, chaque maladie, chaque handicap, chaque perte d'autonomie, il y a une personne unique qui a non seulement des droits, mais aussi des désirs. Les recommandations professionnelles, que nul n'est censé ignorer, vont dans ce sens. Ceci posé, la démarche de bientraitance repose sur la formation des gens qui interviennent, du nombre de personnes présentes pour la prise en charge – il faut plus de soignants ! – et de l'accompagnement et l'écoute des aidants professionnels et naturels (familiaux). La bientraitance doit être organisée par tous ceux qui interviennent, du diagnostic à la vie quotidienne. »
source : http://www.lanouvellerepublique.fr
crédit photo : http://www.has-sante.fr ;http://www.muriel-carpaneto.fr
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Maintien et emploi à domicile : un crédit d’impôt pour l’ensemble des ménages
En 2017, l’avantage fiscal visant à favoriser le recours aux services à la personne et à l’emploi d’un salarié à domicile va prendre la forme d’un crédit d’impôt pour l’ensemble des ménages, y compris les ménages inactifs non assujettis à l’impôt sur le revenu ( en particulier les retraités).
Grâce aux exonérations sociales et fiscales mises en place par le Gouvernement, il est désormais moins cher de déclarer un salarié que de ne pas le déclarer.
Maintien et emploi à domicile : un crédit d’impôt pour l’ensemble des ménages
Le Gouvernement va intégrer au projet de loi de finances 2017 une mesure fiscale qui permettra de faire bénéficier tous les ménages du crédit d’impôt de 50 % des dépenses au titre des services à la personne.
Cet avantage fiscal prendra désormais la forme d’un crédit d’impôt pour l’ensemble des ménages, ce qui représentera une aide supplémentaire de 1 milliard d’euros. Les ménages inactifs non assujettis à l’impôt sur le revenu, en particulier les retraités, pourront donc en bénéficier, sous forme de remboursement.
Elle devrait permettre une création nette de 30 000 emplois (en équivalent temps plein) dans le secteur de l’emploi à domicile.
Cette mesure s’ajoute à l’ensemble des exonérations de cotisations fiscales et sociales mises en place depuis le début du quinquennat en faveur du secteur, dont la réduction forfaitaire de cotisation patronale de 2 euros par heure travaillée déclarée entrée en vigueur en décembre 2015.
L’ensemble de ces dispositions favorise déjà la création d’emplois, comme en atteste la reprise de l’emploi dans le secteur depuis le début de l’année 2016 avec une hausse +1,1% de masse salariale déclarée au 1er trimestre 2016, et doivent également inciter les employeurs à déclarer leurs salariés.
Grâce aux exonérations sociales et fiscales mises en place par le Gouvernement, il est moins cher de déclarer un salarié que de ne pas le déclarer.
Ainsi l’employeur qui verse un salaire net de 10 euros ne supporterait, après application des exonérations sociales et fiscales, qu’un coût réel à peine supérieur à 8 euros. Cette réalité est un atout pour éviter le travail dissimulé.
source : http://www.lamaisondesaidants.com
crédit photo: http://seelavabrealain.com,https://encrypted-tbn2.gstatic.com