Apprentissage des premiers secours - PSC1
Un proche qui fait un malaise ou qui s’étouffe, une brûlure, un accident de la route... Nombreux sont les risques dans notre vie quotidienne. Face à une personne en danger, avoir les bons réflexes peut parfois sauver une vie. Vous devez agir mais vous ne savez pas comment ? Formez-vous aux gestes de premiers secours (PSC1) . Pour mieux anticiper l'urgence, et savoir réagir !
Voilà chose faite, le 06 juin dernier, les S'EntrAidants 82 ont suivi la formation aux premiers secours dispensée par la Croix Rouge Française.
Comme de coutume c'est dans une ambiance "bon enfant" que s'est déroulée cette journée.
Un grand merci à notre formatrice, fort sympathique, qui à su se mettre à notre portée pour délivrer son enseignement.
Une petite pensée pour Valentin à qui nous souhaitons un prompt rétablissement
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Journée de solidarité
Combien rapporte la journée de solidarité ?
La journée de solidarité créée en 2004 pour financer une meilleure prise en charge des personnes âgées et handicapées, et initialement fixée au lundi de Pentecôte, devrait rapporter 2,367 milliards d’euros en 2017, après 2,293 milliards en 2016, selon la CNSA, chargée de sa gestion et la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA) devrait rapporter 748,9 millions d’euros..
Depuis sa création en 2004, après la canicule meurtrière de 2003, la journée de solidarité a permis de collecter 28 milliards d’euros. Pour rappel, cette journée s’applique aux salariés, les professions libérales n’y étant pas assujetties.
Le choix de ce jour travaillé et non payé, fixé initialement au lundi de Pentecôte redevenu férié en 2008, est désormais laissé à l’appréciation des employeurs, publics et privés. Certains suppriment un jour de congé ou de RTT, d’autres offrent cette journée à leurs salariés. Mais tous s’acquittent d’une contribution (0,3 % de la masse salariale) reversée à la CNSA.
Les revenus du capital (0,3 % des revenus des placements et des revenus du patrimoine) y sont également soumis (à l’exception de l’épargne populaire telle que le livret A).
Où va l’argent ?
Près de 60 % (1,42 milliard) des recettes attendues de la CSA en 2017 sont destinés à l’aide aux personnes âgées et se répartiront entre les conseils départementaux (473,3 millions d’euros) pour le financement de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA) et les établissements et services médico-sociaux dédiés (946,6 millions d’euros).Quant à la part bénéficiant aux personnes handicapées (946,6 millions d’euros), elle sera aussi versée à la fois aux conseils départementaux, notamment pour le financement de la prestation de compensation du handicap, et aux structures ad hoc.
1,42 milliard d’euros seront consacrés aux personnes âgées.
Depuis avril 2013, les retraités imposables participent également à l’effort, avec la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (Casa). Celle-ci, gérée aussi par la CNSA, a rapporté 2,6 milliards d’euros depuis son entrée en vigueur. Pour 2017, la collecte est estimée à 748,9 millions d’euros. En 2017, l’intégralité des recettes de Casa seront versées à la CNSA : 453,7 millions d’euros pour revaloriser l’APA à domicile, c’est-à-dire augmenter le nombre d’heures d’aide à domicile pour les personnes âgées qui en ont le plus besoin ; 180 millions d’euros pour des actions de prévention de la perte d’autonomie ; 6 millions d’euros pour renforcer l’accompagnement des proches aidants de personnes âgées en perte d’autonomie et soutenir le développement de l’accueil familial ; 6 millions d’euros pour renforcer l’accompagnement des proches aidants de personnes âgées en perte d’autonomie et soutenir le développement de l’accueil familial.
Au 31 décembre 2015, 1,265 million de personnes bénéficiaient de l’allocation personnalisée d’autonomie, selon les chiffres du service de statistiques du ministère de la Santé (Drees). À la même date, le nombre de bénéficiaires de la prestation de compensation du handicap se montait à 184 000.
source : http://www.ouest-france.fr
crédit photo : http://www.ouest-france.fr,
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Du nouveau à l'APF de Tarn et Garonne
Depuis plus de 80 ans, L’APF est présente aux côtés des familles et des personnes touchées par le Handicap.
Aujourd’hui elle présente son nouveau dispositif
« APF - Droit des personnes ».
L’association informe, conseille et oriente les personnes en situation de handicap, leurs familles et les professionnels pour toute demande sociale dans l’accès aux droits.
Par exemple, les personnes peuvent demander des informations sur les prestations spécifiques aux personnes en situation de handicap (Allocation Adulte Handicapé ; Prestation de Compensation du Handicap ; Allocation Compensatrice Tierce
Personne…).
L’association, grâce à une équipe composée de plusieurs professionnels formés, accueille gratuitement les demandes d’aide et d’information en respectant la confidentialité et l’anonymat.
Pour répondre aux demandes, L’APF s’appuie sur
- son équipe locale
- son service juridique régional et national
- et sur des partenaires externes.
Témoignages de plusieurs personnes ayant sollicité l’APF :
Jennifer V. : « J’attendais un bébé, et je ne savais pas si mes droits allaient changer avec la naissance. Je me sentais un peu perdue, l’APF m’a conseillé gratuitement et m’a aidée à effectuer certaines démarches auxquelles je n’aurais pas pensé. J’ai gardé mon allocation et j’en ai obtenu d’autres ».
Mauricette D. : « J’avais obtenu par la MDPH une allocation pour m’aider à domicile, mais cela ne correspondait pas totalement à mes besoins. J’avais l’impression que je ne pourrai pas vivre seule à mon domicile comme je le voulais. L’APF m’a aidée à préparer un recours que j’ai gagné. Aujourd’hui je suis autonome grâce à cette prestation, j’ai aussi trouvé une association qui m’aide régulièrement quand j’en ai besoin ».
Jean P : « Ma carte d’invalidité allait arriver à échéance et je n’étais pas en mesure de faire quelque démarche à cause de ma maladie. J’étais épuisé et démoralisé. Je ne savais pas où aller. J’ai demandé à l’APF si quelqu’un pouvait m’aider. Nous avons réalisé les démarches ensemble afin d’instruire un dossier de renouvellement. Je n’ai pas perdu mon droit grâce à l’APF ».
Juliette et Valentin : « On voulait partir en vacances ensemble, loin du quotidien : le boulot, la vie à la maison, on avait besoin d’air. Mais on ne savait pas comment préparer ces vacances, avec le fauteuil roulant de Valentin, c’était plutôt difficile de trouver un hôtel, et d’envisager les déplacements en train. L’APF nous a conseillé et nous a indiqué plusieurs lieux qui correspondaient à nos envies et surtout, accessibles. On a passé des vacances formidables ! On regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt ! Depuis, on part tous les étés dans un lieu différent ».
Françoise M. : « Après mon accident de voiture, en plus du handicap que j’avais, j’étais perdue : les assurances, les expertises, les soins, les remboursements. Je n’y voyais plus clair dans tout cela. Avec l’APF, j’ai refait surface car on m’a aidé à trier les papiers, et choisir des options déterminantes pour mon indemnisation. Je recommande l’APF car l’accueil bienveillant que j’ai reçu m’a permis d’aller de l’avant et aujourd’hui je suis plus combattive. J’aide même des enfants pour leurs devoirs dans ma maison de quartier ».
Afin de garantir un accueil et une réponse de proximité, une permanence est assurée
au local de l’APF à Montauban :
Les mardis de 9 h à 12 h 00 et de 14 h à 17 h 00
Les jeudis de 9 h à 12 h 00.
Contact : APF du Tarn-et-Garonne
315 rue de pater 82 000 Montauban
05 63 63 83 12
dd.82@apf.asso.fr
source : APF DD 82
crédit photo : APF DD 82, http://www.saint-fargeau-ponthierry.fr