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  • De l'aide pour les aidants !!!

    soutienLes aidants familiaux veulent davantage de soutien
    Si l’année 2016 a vu la mise en œuvre de nouvelles mesures en faveur des personnes âgées, dans le cadre de la loi relative à l’adaptation de la société au vieillissement votée en 2015, les aidants familiaux désirent davantage. Quant à la question de la prise en charge de la perte d’autonomie, elle ne saurait être reportée plus longtemps.

    Les aidants familiaux ne souhaitent plus assumer seuls
    Les aidants familiaux sont prêts à s’occuper de leurs proches, mais veulent être soutenus, d’après le dernier Baromètre OCIRP Autonomie 2017, dont les résultats ont fait l’objet d’un débat le 24 janvier 2017 à la Maison de la Radio à Paris. Certes, le maintien à domicile d’un aîné dépendant est la solution privilégiée par plus des trois quarts des Français (76,2 %). Néanmoins, près de la moitié des personnes interrogées (49,7 %) estiment que les aidants familiaux ne peuvent pas assister seuls leurs proches dépendants au jour le jour. Conscients des difficultés inhérentes à l’accompagnement d’une personne âgée en perte d’autonomie, ils pensent que les aidants familiaux ont besoin de plus de soutien de leur lieu de travail et de la société.
    Pour parvenir à assumer leur mission de solidarité à l’égard d’un proche âgé fragilisé, les aidants familiaux salariés souhaiteraient voir la mise en place ou le renforcement de certaines mesures :
    •    des horaires aménagés (84,3 % d’aidants familiaux sont favorables à un tel dispositif),
    •    des droits sociaux maintenus même en cas de congés pour aider un proche (81,4 %),
    •    une aide au répit plus conséquente (80,4 %),
    •    des congés rémunérés (55,9 %), alors que le congé de proche aidant, entré en vigueur dans sa nouvelle version le 1er janvier 2017 est un congé sans solde (à la différence du congé de solidarité familiale pour assister un proche en fin de vie, ouvrant droit à une allocation journalière pendant 21 jours).
    Quelque 69 % des salariés estiment que c’est à l’entreprise qu’incombe la responsabilité de l’aide aux aidants familiaux. En outre, près de 60 % des aidants familiaux salariés et particuliers pensent qu’une assurance ou une assistance spécifique leur rendrait également service.

    Vers une nouvelle réforme de la prise en charge de la dépendance ?
    Près de la moitié des Français estiment que la perte d’autonomie devrait faire partie des priorités des candidats aux élections présidentielles de 2017. En outre, ils sont près de sept sur dix (67,4 %) à souhaiter voir le prochain président engager une nouvelle réforme de la prise en charge de la perte d’autonomie. Le but : assurer un financement adapté du risque de dépendance.
    Pour les Français, les possibilités de financement de la perte d’autonomie sont les suivantes :
    •    solidarité nationale : ils sont de moins en moins nombreux à ne compter que sur cette solution (18,2 %),
    •    financement direct par les aidants familiaux ou la personne dépendante elle-même : 11,8 %,
    •    financement solidaire complété par une incitation à l’assurance dépendance complémentaire : 65,3 %.
    Au fil des ans, les Français ont donc compris que si les aidants familiaux jouent un rôle primordial dans l’accompagnement des personnes âgées dépendantes, ils ne sauraient assumer seuls cette tâche. Ils attendent néanmoins de l’État de faire plus pour prendre en charge les personnes âgées en perte d’autonomie, dont le nombre ne fera qu’aller en grandissant.

    source : https://www.capretraite.fr
    crédit photo : http://fibroactions.fr

  • Nouvelles d'ailleurs....

    Fort appui de la population en faveur d'un soutien financier pour une armée d'aidants naturels impayés
    canadaLes Canadiens demandent aux gouvernements de fournir un soutien financier aux aidants naturels qui doivent réduire leurs heures de travail ou quitter leur emploi, selon une enquête effectuée auprès de plus de 4 000 Canadiens. Les résultats de cette enquête sont publiés dans une nouvelle étude du Conference Board du Canada, intitulée Comme chez soi : enquête sur les soins aux personnes âgées.

    "Les Canadiens qui fournissent des soins non rémunérés à des membres de leur famille sont sous pression pour concilier leur travail et leurs responsabilités d'aidants naturels ", soutient Louis Thériault, vice-président Politiques publiques.  D'après les résultats de cette enquête, les Canadiens "estiment que les gouvernements devraient fournir une compensation financière à ceux qui doivent réduire leurs heures de travail pour aider des personnes âgées. Dans le cadre d'une stratégie qui vise à prendre soin de la population vieillissante, il faudrait fournir aux aidants le soutien dont ils ont besoin" .

    Faits saillants
    :
        Quelque 60 % des Canadiens interrogés ont indiqué que les gouvernements devraient fournir une aide financière à ceux qui doivent réduire leurs heures de travail ou se retirer du marché du travail pour procurer des soins aux personnes âgées.
        Aucune province ou aucun territoire au Canada n'a maîtrisé la prestation des soins aux aînés : tous ont des forces et des faiblesses à cet égard, et tous peuvent en apprendre les uns des autres.
        Les coûts exorbitants sont la principale raison mentionnée par les répondants ayant des besoins non satisfaits pour ne pas recevoir des services de soins communautaires ou à domicile.

    Lors du sondage, 60 % des répondants ont convenu que les gouvernements devraient fournir une aide financière à ceux qui sont obligés de réduire leurs heures de travail ou de quitter leur emploi. En revanche, 28 % des répondants sont favorables à un régime d'assurance privée obligatoire, et 25 % estiment que les soins devraient être fournis par les proches de la personne dépendante.

    Voici quelques-unes des autres conclusions du rapport :
        Les services de soins communautaires et à domicile sont abordables pour ceux qui les obtiennent, mais les coûts représentent un obstacle à l'accessibilité. Les « coûts exorbitants » sont la principale raison invoquée par les répondants ayant des besoins non satisfaits pour ne pas recevoir de services.
        Le transport est le service de soins communautaires et à domicile le plus susceptible d'exiger des Canadiens de débourser des frais de leur poche, mais le transport est également considéré comme l'un des services les plus abordables.

    EKOS Research Associates a mené cette enquête auprès de 4 127 Canadiens . La marge d'erreur pour un échantillon de 4 127 Canadiens est de plus ou moins 1,5 %, 19 fois sur 20. Cette marge d'erreur s'accroît pour les sous-groupes de la population. Les répondants se sont souvent exprimés au nom de personnes qui étaient bénéficiaires de soins. Les répondants de 55 ans et plus ont fait l'objet d'un suréchantillonnage afin de joindre ceux qui étaient les plus susceptibles d'interagir avec les services de soins de longue durée communautaires et à domicile. Par conséquent, l'échantillon représente une plus grande part de répondants plus âgés, plus riches et plus instruits que dans la population générale.

    Ce rapport s'inscrit dans un vaste programme de recherche sur les soins futurs des personnes âgées, initié par l'Alliance canadienne pour les soins de santé durable (ACSSD) du Conference Board. Cette série de recherches examine de façon exhaustive les besoins actuels des aînés et ceux à venir, ainsi que les services qui répondent à ces besoins.

    source: Conference Board du Canada
    crédit photo : .http://go-canada.ma

  • Les vacances ça se prépare.....

    Le catalogue des séjours Vacances 2016 de France Alzheimer est disponible

    vacancesL'Association France Alzheimer organise chaque année de mai à octobre des Séjours Vacances-Répit Alzheimer® dans différentes régions touristiques de France.

    Les personnes malades et leur aidant peuvent ainsi profiter de loisirs adaptés, d’excursions et d’activités festives. Les principaux objectifs de ces séjours sont de rompre l’isolement et de favoriser la création de liens entre les personnes, dans un environnement propice à la détente.

    Dans un quotidien marqué par les contraintes de la maladie, un quotidien où l’aidant joue un rôle essentiel dans l’accompagnement de son proche malade, les plages de répit et les temps de repos sont fondamentaux.

    Et pour limiter le frein que peut représenter le coût, les tarifs sont calculés en fonction des ressources.

    Pour découvrir le catalogue des séjours, c'est ici.

    source : https://lesitedesaidants.fr
    crédit photo : http://www.lemonde.fr
     

  • Où trouver l'info?

    Guide pratique d’orientation pour les aidants

    guideJe cherche des informations, j’ai besoin de conseils, j’ai besoin de parler, j’ai besoin de répit, je voudrais partir en vacances,  je cherche des aides financières pour mon proche, je voudrais faire adapter le logement, je voudrais trouver un établissement d’accueil… Lorsque son proche perd son autonomie ou devient dépendant, il n’est pas toujours facile pour les aidants de savoir où et auprès de qui s’adresser pour trouver des solutions adaptées. Voici un petit guide pratique pour  faciliter vos démarches et trouver des réponses spécifiques.

    Je cherche des informations, j’ai besoin de conseils, de trouver un service
       -  Le CLIC (Centre Local d’Information et de Coordination) ou le centre de coordination gérontologique : lieu d'information et d’orientation de proximité pour les retraités, les personnes âgées et les aidants. Réparti sur l’ensemble du territoire.
       -  Le C.C.A.S. (Centre Communal d’Action Sociale) ou Service d’action sociale : service public d’information sur les dispositifs d’aide, l’APA, les services de maintien à domicile public et privé …
       -  Les assistantes sociales communales ou rattaché à un établissement Leur mission est d’aider et d’accompagner dans leurs démarches et la constitution des dossiers les personnes qui rencontrent des difficultés sociales. Elles évaluent la situation et proposent des solutions adaptées aux difficultés rencontrées. Se renseigner à la mairie où elles assurent souvent des permanences.
        - Les plateformes d’accompagnement et de répit Ces structures sont destinées à l’accueil, l’information et le soutien des aidants familiaux et des personnes aidées. Elles sont adossées à un accueil de jour et/ou un EHPAD.
        Composée d’une équipe pluridisciplinaire, elles ont pour mission entre autres d’aider les aidants, de proposer des entretiens avec le ou la psychologue et d’organiser des temps de rencontres et d’échanges entre aidants. Pour plus d’information : http://ars.iledefrance.sante.fr/fileadmin/ILE-DE-FRANCE/ARS/Actualites/2012/Alzheimer/alzheimer_fiche1b-2013.pdf
        - Les associations spécialisées sur les maladies physiques et psychiques spécifiques. Pour trouver des informations, une écoute, des formations, un soutien sur une maladie, une pathologie. France Alzheimer ; France Parkinson, France AVC, APF, UNAFAM…)
        - Les associations de famille (UDAF…) L’UNAF (Union Nationale des Association de Familles) a pour mission de défendre et de représenter les intérêts des familles. Répartie sur tout le territoire sous forme d’URAF eunafcnav,cdr-c,ssiad,n région et d’UDAF en département.
        - Services sociaux de la CNAV (Caisse nationale d’Assurance Vieillesse) Information sur les dispositifs et les aides aux retraités et personnes âgées évaluées en GIR 5 et 6
       -  Service d’action sociale des CDR-C (Caisses de Retraite Complémentaire) Information et dispositifs d’aides pour les allocataires. Aides financières, soutien aux aidants, lieux de vacances…

    J’ai besoin de parler de ma situation, d’être soutenu(e), d’avoir du répit, de rencontrer d’autres aidants
        - Plateformes d’accompagnement et de répit (voir ci-dessus)
        - Associations d’aide aux aidants : Différents dispositifs existent sur le territoire pour apporter un soutien individuel et/ou collectif aux aidants. Se renseigner au C.C.A.S., au CLIC s’il en existe un et sur internet.
       -  Les groupes de parole aidants : Ces lieux d’écoute et de soutien collectif existent un peu partout en France et sont proposées par certaines associations, services de maintien à domicile, associations spécialisées… Se renseigner au C.C.A.S. de sa commune et sur internet sur le site du département.
        - Associations spécialisées pour s’informer sur une pathologie spécifique, apprendre et se former

    Se faire aider par des professionnels au domicile
        - Services de maintien à domicile : Publics communaux (voir C.C.A.S.) ou privés associatifs Servicesprestataires, mandataires ou emploi direct
       -  S.S.I.A.D. (Services de Soins Infirmiers A Domicile) publics communaux ou privés associatifs
        - Gardes itinérantes de nuit : En complément des services de maintien à domicile. Interventions courtes tôt le matin, après 19 h et la nuit
        - Portage de repas : C.C.A.S. et associations d’aide à domicile, associations spécialisées sous différentes appellations. Se renseigner auprès du CLIC, du C.C.A.S., du département
        - Services de téléassistance ou téléalarme : Centre de réception et de gestion des appels reçus par les personnes via un médaillon ou un bracelet
       -  E.S.A. (Equipe Spécialisée Alzheimer) rattachée à un S.S.I.A.D : offre de soins coordonnés et accompagnement permettant aux personnes désorientées de rester à domicile.
       -  H.A.D. (Hospitalisation A Domicile) : Soins médicaux et paramédicaux tous les jours 24 H/ 24.
        - SAMSAH (Service d'Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés). Equipe pluridisciplinaire pour une prise en charge et un accompagnement médico-social adapté autour d’un projet de vie
        - Réseaux de santé/soins palliatifs : Accompagnement de fin de vie et coordination des soins à domicile.
        - Balluchonnage : Remplacement de l’aidant 24h/24 et 7j/7 pendant son absence (contrainte par le droit du travail). L’association « Bien à la maison » propose des offres de prise en charge 24/24.
        
     J’ai besoin de souffler, je dois m’absenter
        - Accueil de jour « simple » ou « spécialisé pour les personnes atteintes de désorientation » : dispositif d’accueil en demi-journée ou journée pour les personnes désorientées.
        - Accueil temporaire : Généralement adossé à un EHPAD, places disponibles de quelques jours et jusqu’à 3 mois par an.
        - Accueil familial : Géré et contrôlé par les conseils départementaux. Information auprès du Conseil départemental et sur le site FAMIDAC
        - A.F.T. (Accueil Familial Thérapeutique) : sur prescription d’un centre hospitalier. Accueil des personnes souffrant de troubles mentaux
        - Les séjours de vacances : Des offres de séjours de vacances pour les aidants et/ou les personnes aidées sont proposées par les caisses de retraite complémentaire, certaines associations spécialisées sur une pathologie spécifique, Se renseigner auprès de VRF (Village Répit Famille), l’ANCV (Agence Nationale des Chèques Vacances, et sur internet. Des aides au financement du séjour peuvent être accordées sous conditions par les caisses de retraite complémentaire.

    J’ai besoin de faire adapter le logement de mon proche
       - LA CNAV (Caisse nationale d’assurance vieillesse),
        Les conseils départementaux
        - L’ANAH (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat) : pour connaître les conditions d’aides à l’amélioration de la résidence principale de la personne et les modalités : http://www.anah.fr
        - Le PACT : se renseigner sur le site http://www.pact-habitat.org/reseau.html

      Je cherche une solution d’hébergement pour mon proche
        - Foyers-logement ou résidences services : Ensemble de logements autonomes (studio et 2 pièces pour un couple) associés à des services collectifs facultatifs. Pour les personnes autonomes ou en perte d’autonomie.
       -  MARPA : Maison d’Accueil Rurales pour Personnes Agées résidant à proximité. Capacité limitée à 24 places. Sur le principe des petites unités de vie (logements privatifs associés à des espaces collectifs et des services).
       -  Lieux de vie collectifs adaptés : Ces établissements apparentés aux foyers-résidence et aux MARPA peuvent être une solution intermédiaire entre le domicile et l’entrée définitive en établissement.
       -  E.H.P.A. : Etablissements d’Accueil pour Personnes Agées non dépendantes
        - E.H.P.A.D. : Etablissements d’Accueil pour Personnes Agées Dépendantes. Sont souvent rattachés aux EHPAD des places d’accueils de jour, des accueils temporaires
        Petites unités de vie : 24 résidents maximum ; logement indépendant mais participation aux tâches de la vie quotidienne (repas, entretien..).
        - Cantous (Centres d'Animation Naturel Tiré d'Occupations Utiles). Autonomes ou rattachés à un établissement, petites unités de vie  pour personnes âgées dépendantes.
       -  U.S.L.D. (Unités d’hébergement et de Soins de Longue Durée) pour les personnes très dépendantes. Généralement rattachées à un établissement hospitalier.
        - Accueil familial : Accueil des personnes âgées et handicapées au domicile d’un accueillant familial.  Géré par les conseils départementaux, une liste est disponible sur le site du conseil départemental et sur internet. L’accueil peut s’envisager pour quelques jours, ponctuellement ou de façon permanente.
        - A.F.T. (Accueil Familial Thérapeutique) : sur prescription d’un centre hospitalier Accueil des personnes souffrant de troubles mentaux
       - MAS (Maison d’Accueil Spécialisée) : Prise en charge des personnes handicapées. Sur orientation de la C.D.A.P.H. (Commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées) des M.D.P.H.
     
    Je cherche des aides financières, techniques, sociales, juridiques
        - Les conseils généraux pour les demandes d’APA et les aides au logement
       -  Les assistantes sociales dans la commune ou au sein d’un établissement en fonction de la situation. Aide à la constitution des dossiers
        - La CNAV pour les retraités évalués en GIR 5/6 (cad autonome ou en petite perte d’autonomie)
       -  Le service d’action sociale de la caisse de retraite complémentaire Aides au maintien à domicile, à la perte d’autonomie, à l’entrée en établissement.
        - M.S.A. (Mutualité Sociale Agricole) pour les retraités exploitants et salariés de l’agriculture
        - C.A.F. (Caisse d’Allocation Familiale) : revenus de solidarité, aides au logement APL (Aide personnalisée au Logement)
       -  Caisse de sécurité sociale pour l’achat de matériels techniques sous conditions et demande d’entente préalable.
        - L’UDAF : dispose d’un service de Protection Juridique des Majeurs et propose des permanences régulières pour des conseils sur les dispositifs de curatelle et de tutelle.

     
    Pour s’informer aussi :
        - Le TGI (tribunal de grande instance)
       -  Les lieux d’accès aux droits sur http://www.annuaires.justice.gouv.fr
        - Les avocats spécialisés en droit de la famille
     
    A NOTER : Les différentes aides allouées aux bénéficiaires permettent de compenser les surcoûts liés à la dépendance d’une personne.  Elles sont versées en fonction de différents critères et tiennent compte des ressources.
     
    Vous trouverez également d’autres articles  en référence sur les liens suivants :
        - Maison de retraite, foyer-logement, unité de vie, comment faire la différence? Quels sont les différents types d établissement? : ici
        - Trouver du soutien lorsque l’on est aidant : quoi ? où ?  comment ? : ici
        - Le centre local d'information et de coordination (CLIC): ici

    source:http://www.aidonslesnotres.fr
    crédit photo : https://www.learningappguide.com/